
D’abord intoxiqué pendant plus de 20 ans je reviens à la vie, la vraie vie, et ce ne sera pas facile.
Depuis 9 mois que je ne consomme plus j’ai décidé hier de réduire mes médicaments de moitié (de 50 à 25 mg de séroquel et de 20 à 10 de paxil) et de prendre le risque de ne pas dormir.
Mais j’ai eu un bon sommeil cette nuit et aujourd’hui je me sens bien même mieux que depuis longtemps. Les médicaments que je prends pour mon états dépressif et aussi pour mes high ne sont peut être moins utile maintenant que je ne suis plus « gelé ». En tout cas qui le saura si ce n’est pas moi. Je ne peux pas attendre de voir un médecin, je n’ai ni la patience, ni le temps voulu.
La rencontre avec le médecin au congrès de Montréal m’a permis d’accepter mon alcoolisme comme ma plus grande maladie. Et j’ai reçu mes médicaments (mon diagnostique) pendant ma consommation. Maintenant que je suis sobre depuis 9 mois je prends ce risque de diminuer ma médication.
Je ne peux crier victoire car une seule journée n’est pas assez pour savoir l’effet long terme de cette diminution de dosage. J’essais de diminuer lentement pour ne pas sentir l’effet du sevrage, et je prendrai le temps qu’il faudra.
Au pire je me dis que je reviendrai à mes doses prescrites. Je ne fais en aucun cas le procès des médicaments soyons clair là dessus, ces derniers m’ont sûrement sauvé la vie (état suicidaire) mais maintenant je pense que je peux diminuer.
Je vous tiendrai au courant au fil des jours,
A bientôt vous qui me lisez,
Mouze Zoomba
Depuis 9 mois que je ne consomme plus j’ai décidé hier de réduire mes médicaments de moitié (de 50 à 25 mg de séroquel et de 20 à 10 de paxil) et de prendre le risque de ne pas dormir.
Mais j’ai eu un bon sommeil cette nuit et aujourd’hui je me sens bien même mieux que depuis longtemps. Les médicaments que je prends pour mon états dépressif et aussi pour mes high ne sont peut être moins utile maintenant que je ne suis plus « gelé ». En tout cas qui le saura si ce n’est pas moi. Je ne peux pas attendre de voir un médecin, je n’ai ni la patience, ni le temps voulu.
La rencontre avec le médecin au congrès de Montréal m’a permis d’accepter mon alcoolisme comme ma plus grande maladie. Et j’ai reçu mes médicaments (mon diagnostique) pendant ma consommation. Maintenant que je suis sobre depuis 9 mois je prends ce risque de diminuer ma médication.
Je ne peux crier victoire car une seule journée n’est pas assez pour savoir l’effet long terme de cette diminution de dosage. J’essais de diminuer lentement pour ne pas sentir l’effet du sevrage, et je prendrai le temps qu’il faudra.
Au pire je me dis que je reviendrai à mes doses prescrites. Je ne fais en aucun cas le procès des médicaments soyons clair là dessus, ces derniers m’ont sûrement sauvé la vie (état suicidaire) mais maintenant je pense que je peux diminuer.
Je vous tiendrai au courant au fil des jours,
A bientôt vous qui me lisez,
Mouze Zoomba
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