samedi 29 juin 2013
Alcoholics Anonymous : RÉFLEXIONS QUOTIDIENNES
"UN EFFET DE VAGUE
Ayant trouvé la recette du parfait bonheur, nous la partagerions avec tous... Oui, chez les AA, nous avions rêvé de tout cela. Quoi de plus naturel, en somme, puisque la plupart des alcooliques sont des idéalistes déçus !... Alors, pourquoi ne pas partager notre mode de vie avec tout le monde ?
LES DOUZE ÉTAPES ET LES DOUZE TRADITIONS, P. 178-179
La grande découverte de la sobriété me poussait à répandre la « bonne nouvelle » dans mon milieu. C’était le retour des idées grandioses de ma vie de buveur. Par la suite, je me suis rendu compte que ma seule sobriété était un travail à temps plein. En devenant un citoyen abstinent, j’ai pu constater que l’effet de vague, sans aucun effort de ma part, atteignait « d’autres organismes, qu’ils soient apparentés ou étrangers », sans m’écarter de mon but fondamental qui est de demeurer abstinent et d’aider d’autres alcooliques à le devenir.
Extrait du livre Réflexions quotidiennes
© Copyright 1991 by Alcoholics Anonymous World Services, Inc.
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Le Nord plus touché par l'alcoolisme - Actu, société - thailande-fr
Le nombre de personnes qui consomment de l'alcool régulièrement dans les provinces du Nord de la Thaïlande est à la hausse, à l'origine de problèmes croissants de santé et sociaux. Le Comité permanent pour les enfants, les jeunes, les femmes, les ... Cliquez ci dessous pour lire plus
Le Nord plus touché par l'alcoolisme - Actu, société - thailande-fr:
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L'essentiel Online - 32 permis de conduire retirés en une seule nuit - News
32 permis de conduire retirés en une seule nuit. LUXEMBOURG - Dans la nuit de vendredi à samedi, des dizaines d'automobilistes ont été contrôlés au volant de leur véhicule alors qu'ils étaient sous l'emprise de l'alcool.
cliquez ci dessous pour lire plus:
L'essentiel Online - 32 permis de conduire retirés en une seule nuit - News:
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vendredi 28 juin 2013
Alcoholics Anonymous : RÉFLEXIONS QUOTIDIENNES
Alcoholics Anonymous : RÉFLEXIONS QUOTIDIENNES: "LA DÉTERMINATION DE NOS FONDATEURS
Au bout d’un an et six mois, les trois pionniers avaient réussi à recruter sept nouveaux membres.
LES ALCOOLIQUES ANONYMES, P. 180
Sans la détermination et l’acharnement de nos fondateurs, le mouvement des AA aurait rapidement disparu, comme tant d’autres prétendues bonnes causes. Dans la ville où je vis, il se tient des centaines de réunions chaque semaine, et je sais que les AA sont disponibles vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Si j’avais eu à attendre, avec rien d’autre que l’espoir et le désir de ne pas boire, me sentant rejeté partout, j’aurais recherché la méthode plus facile, plus douce, et je serais retourné à mon ancienne façon de vivre.
Extrait du livre Réflexions quotidiennes
© Copyright 1991 by Alcoholics Anonymous World Services, Inc.
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Au bout d’un an et six mois, les trois pionniers avaient réussi à recruter sept nouveaux membres.
LES ALCOOLIQUES ANONYMES, P. 180
Sans la détermination et l’acharnement de nos fondateurs, le mouvement des AA aurait rapidement disparu, comme tant d’autres prétendues bonnes causes. Dans la ville où je vis, il se tient des centaines de réunions chaque semaine, et je sais que les AA sont disponibles vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Si j’avais eu à attendre, avec rien d’autre que l’espoir et le désir de ne pas boire, me sentant rejeté partout, j’aurais recherché la méthode plus facile, plus douce, et je serais retourné à mon ancienne façon de vivre.
Extrait du livre Réflexions quotidiennes
© Copyright 1991 by Alcoholics Anonymous World Services, Inc.
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Alcool : 1 français sur 2 a déjà conduit alcoolisé - TopSante
Alcool : 1 français sur 2 a déjà conduit alcoolisé - TopSante:
La conclusion de l'enquête révèle qu'1 automobiliste sur 2 (48,72 %) a déjà conduit sous l'emprise de l'alcool, qu'un quart des conducteurs n'a jamais fait l'objet d'un contrôle préventif d'alcoolémie. Pour les 74 % des automobilistes contrôlés, celui ...
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La conclusion de l'enquête révèle qu'1 automobiliste sur 2 (48,72 %) a déjà conduit sous l'emprise de l'alcool, qu'un quart des conducteurs n'a jamais fait l'objet d'un contrôle préventif d'alcoolémie. Pour les 74 % des automobilistes contrôlés, celui ...
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jeudi 27 juin 2013
Bon matin mes cher amis voici un vieux article sur lequel j'ai tombé en regardant le site de la vigne... C'est le propos de Jack Alexander sur le mouvement AA, son scepticisme qui s'éteint petit à petit... J'aime voir aussi à quel point le mouvement AA existe et fait des choses extraordinaire depuis longtemps... Bonne lecture, Mouze Alcoolo...
MON ARTICLE DU SATURDAY EVENING POST
Par Jack Alexander
Ordinairement, le diabète n'est pas coté comme un des dangers du reportage, mais mon article publié dans le Saturday Evening Post sur les Alcooliques anonymes a passé près de me coûter mon foie et peut-être devrions-nous dire ceci aux néophytes AA quand on leur demande de lire cet article. Ça pourrait les impressionner. Au cours de mes recherches j'ai bu assez d'eaux gazeuses pour être à flot sur le Saratoga. Alors il y a eu ces gâteaux des rassemblements AA, et le café divinement doux, et les bonbons. Nul ne pourra me faire croire que l'alcoolisme n'est pas tout simplement causé par un désir de sucre intense et anormal, même pas un savant psychiatre. Pour le reste j'ai bien aimé fréquenter les AA et travailler avec eux.
Ceci débuta quand le Post me demanda si le mouvement AA ne serait pas un bon sujet d'article. Tout ce que je savais alors de l'alcoolisme, c'est que, comme plusieurs autres non-alcooliques, je m’étais fait mordre la main (et frappé le nez) en de nombreuses Occasions, par des amis alcooliques à qui je tendais la main, - imprudemment, semble-t-il toujours après coup, A tout événement, j’étais d’un scepticisme compréhensible à propos de toute l’affaire,
Mon premier contact avec des membres AA eut lieu quand un groupe de quatre d'entre eux vinrent un après-midi à mon appartement. Leur visite me plut, mais ne m'enleva aucunement mes doutes, Chacun se présentait comme un alcoolique devenu "sec" selon l'expression officielle. Ils paraissaient bien, ils étaient bien habillés et alors que nous étions assis à prendre du Coca-Cola (c'était tout ce qu'ils buvaient) ils racontaient longuement leurs affreuses mésaventures de leurs vies de buveurs, Leurs histoires sonnaient faux et après le départ de mes visiteurs j'eus l'impression très nette qu'on se riait de moi, Ils s'étaient conduits comme un groupe d'acteurs envoyés pour une agence du Broadway.
Le lendemain matin, j'ai pris le métro pour me rendre aux Services Généraux des Alcooliques Anonymes dans Manhattan, où j’ai rencontré Bill W. Ce Bill W. est un type très désarmant et un expert qui endoctrine tout étranger dans des domaines comme la psychologie, la psychiatrie, la physiologie, la pharmacologie et le folklore de l’alcoolisme. Il passa une bonne partie de quelques jours à me donner des explications. Ce fut une expérience intéressante, mais à la fin, je me tenais encore les doigts croisés. Naturellement, il le savait sans me le dire, et durant les jours qui suivirent il m’amena dans les foyers de quelques membres AA où j'ai eu la chance de parler aussi à leurs épouses. Mon scepticisme a souffert quelques égratignures mineures, mais pas suffisamment pour me faire changer d'opinion.
Ensuite, Bill m'amena à quelques réunions AA dans un club quelque part à New-York. Il y avait là toutes sortes d'alcooliques dont plusieurs des siroteux à la lisière du mouvement, exhalant encore la boisson et la barbe longue d'une semaine. Alors, j'ai compris que j’étais parmi quelques alcooliques authentiques. Les barbus, ceux qui sentaient la boisson, avaient aussi leurs doutes; j'avais maintenant des compagnons.
La semaine passée avec Bill W. fut un succès à un point de vue. Je savais que j’avais l'information nécessaire pour un reportage intéressant mais, malheureusement, je n'y croyais pas tellement et j’en avisais Bill. Il demanda pourquoi je n'enquêtais pas sur les AA dans d'autres villes pour voir ce qui s'y passait. J'acceptai de le faire et nous traçames un itinéraire. Je me suis rendu à Philadelphie – d’abord et quelques membres AA locaux m'amenèrent à la section psychiatrique de l’Hôpital Général de Philadelphie; on me montra comment on procède dans le cas des patients alcooliques. Dans cet endroit obscur, c’était une chose impressionnante de voir des hommes qui étaient devenus sobres après plusieurs rechutes parler à un homme qui tremblait encore à la suite d'une cuite qui s'était terminée dons les bas-fonds de la ville.
Je me rendis ensuite à Akron. Bill m’y rencontra et promptement m'introduisit au docteur S. un autre homme qu'on avait de la difficulté à ne pas croire. Il y eut d'autres visites d’hôpitaux, une assemblée AA, et des entrevues avec des gens qui, un an ou deux auparavant, vivaient dans la nuit de l'alcool. Maintenant ils paraissaient calmes, avaient un bon langage, paraissaient stables et prospères, à tout le moins modérément prospères.
Le docteur S. nous conduisit tous les deux d'Akron à Cleveland, un soir, et la même chose se répéta. Cependant, l'argument le plus fort me parvint à Saint-Louis qui est ma ville natale. Ici, j’ai rencontré un nombre de mes amis personnels qui étaient membres des AA, et mes derniers doutes se sont envolés. Ils avaient déjà été de gais lurons; ils étaient maintenant sobres. Ce ne semblait pas possible, mais c'était vrai.
Quand l’article fut publié, le courrier fut surprenant. La plupart des demandes venaient de buveurs désespérés ou de leurs épouses, de mères, de pères ou d’amis intéressés.
Je suppose que pendant plusieurs années les lettres vont continuer à arriver et j'espère qu'il en soit ainsi, parce que maintenant, je sais que chacune a sa source dans l'esprit d'un alcoolique ou de quelqu'un qui l'aime, qui vit une espèce d'enfer de Dante, Et je sais aussi que cette victime est sur la voie du rétablissement si elle veut vraiment se rétablir. Il y a quelque chose qui touche le coeur dans ça - particulièrement dans un monde où l'on s'est battu pour obtenir la paix pendant des siècles, sans jamais la trouver durant de longues périodes de temps.
(Mai 1945)
MON ARTICLE DU SATURDAY EVENING POST
Par Jack Alexander
Ordinairement, le diabète n'est pas coté comme un des dangers du reportage, mais mon article publié dans le Saturday Evening Post sur les Alcooliques anonymes a passé près de me coûter mon foie et peut-être devrions-nous dire ceci aux néophytes AA quand on leur demande de lire cet article. Ça pourrait les impressionner. Au cours de mes recherches j'ai bu assez d'eaux gazeuses pour être à flot sur le Saratoga. Alors il y a eu ces gâteaux des rassemblements AA, et le café divinement doux, et les bonbons. Nul ne pourra me faire croire que l'alcoolisme n'est pas tout simplement causé par un désir de sucre intense et anormal, même pas un savant psychiatre. Pour le reste j'ai bien aimé fréquenter les AA et travailler avec eux.
Ceci débuta quand le Post me demanda si le mouvement AA ne serait pas un bon sujet d'article. Tout ce que je savais alors de l'alcoolisme, c'est que, comme plusieurs autres non-alcooliques, je m’étais fait mordre la main (et frappé le nez) en de nombreuses Occasions, par des amis alcooliques à qui je tendais la main, - imprudemment, semble-t-il toujours après coup, A tout événement, j’étais d’un scepticisme compréhensible à propos de toute l’affaire,
Mon premier contact avec des membres AA eut lieu quand un groupe de quatre d'entre eux vinrent un après-midi à mon appartement. Leur visite me plut, mais ne m'enleva aucunement mes doutes, Chacun se présentait comme un alcoolique devenu "sec" selon l'expression officielle. Ils paraissaient bien, ils étaient bien habillés et alors que nous étions assis à prendre du Coca-Cola (c'était tout ce qu'ils buvaient) ils racontaient longuement leurs affreuses mésaventures de leurs vies de buveurs, Leurs histoires sonnaient faux et après le départ de mes visiteurs j'eus l'impression très nette qu'on se riait de moi, Ils s'étaient conduits comme un groupe d'acteurs envoyés pour une agence du Broadway.
Le lendemain matin, j'ai pris le métro pour me rendre aux Services Généraux des Alcooliques Anonymes dans Manhattan, où j’ai rencontré Bill W. Ce Bill W. est un type très désarmant et un expert qui endoctrine tout étranger dans des domaines comme la psychologie, la psychiatrie, la physiologie, la pharmacologie et le folklore de l’alcoolisme. Il passa une bonne partie de quelques jours à me donner des explications. Ce fut une expérience intéressante, mais à la fin, je me tenais encore les doigts croisés. Naturellement, il le savait sans me le dire, et durant les jours qui suivirent il m’amena dans les foyers de quelques membres AA où j'ai eu la chance de parler aussi à leurs épouses. Mon scepticisme a souffert quelques égratignures mineures, mais pas suffisamment pour me faire changer d'opinion.
Ensuite, Bill m'amena à quelques réunions AA dans un club quelque part à New-York. Il y avait là toutes sortes d'alcooliques dont plusieurs des siroteux à la lisière du mouvement, exhalant encore la boisson et la barbe longue d'une semaine. Alors, j'ai compris que j’étais parmi quelques alcooliques authentiques. Les barbus, ceux qui sentaient la boisson, avaient aussi leurs doutes; j'avais maintenant des compagnons.
La semaine passée avec Bill W. fut un succès à un point de vue. Je savais que j’avais l'information nécessaire pour un reportage intéressant mais, malheureusement, je n'y croyais pas tellement et j’en avisais Bill. Il demanda pourquoi je n'enquêtais pas sur les AA dans d'autres villes pour voir ce qui s'y passait. J'acceptai de le faire et nous traçames un itinéraire. Je me suis rendu à Philadelphie – d’abord et quelques membres AA locaux m'amenèrent à la section psychiatrique de l’Hôpital Général de Philadelphie; on me montra comment on procède dans le cas des patients alcooliques. Dans cet endroit obscur, c’était une chose impressionnante de voir des hommes qui étaient devenus sobres après plusieurs rechutes parler à un homme qui tremblait encore à la suite d'une cuite qui s'était terminée dons les bas-fonds de la ville.
Je me rendis ensuite à Akron. Bill m’y rencontra et promptement m'introduisit au docteur S. un autre homme qu'on avait de la difficulté à ne pas croire. Il y eut d'autres visites d’hôpitaux, une assemblée AA, et des entrevues avec des gens qui, un an ou deux auparavant, vivaient dans la nuit de l'alcool. Maintenant ils paraissaient calmes, avaient un bon langage, paraissaient stables et prospères, à tout le moins modérément prospères.
Le docteur S. nous conduisit tous les deux d'Akron à Cleveland, un soir, et la même chose se répéta. Cependant, l'argument le plus fort me parvint à Saint-Louis qui est ma ville natale. Ici, j’ai rencontré un nombre de mes amis personnels qui étaient membres des AA, et mes derniers doutes se sont envolés. Ils avaient déjà été de gais lurons; ils étaient maintenant sobres. Ce ne semblait pas possible, mais c'était vrai.
Quand l’article fut publié, le courrier fut surprenant. La plupart des demandes venaient de buveurs désespérés ou de leurs épouses, de mères, de pères ou d’amis intéressés.
Je suppose que pendant plusieurs années les lettres vont continuer à arriver et j'espère qu'il en soit ainsi, parce que maintenant, je sais que chacune a sa source dans l'esprit d'un alcoolique ou de quelqu'un qui l'aime, qui vit une espèce d'enfer de Dante, Et je sais aussi que cette victime est sur la voie du rétablissement si elle veut vraiment se rétablir. Il y a quelque chose qui touche le coeur dans ça - particulièrement dans un monde où l'on s'est battu pour obtenir la paix pendant des siècles, sans jamais la trouver durant de longues périodes de temps.
(Mai 1945)
mardi 25 juin 2013
Alcoholics Anonymous : RÉFLEXIONS QUOTIDIENNES
Alcoholics Anonymous : RÉFLEXIONS QUOTIDIENNES: "UNE RUE À DEUX SENS
Si nous le Lui demandons, Dieu nous pardonnera sûrement nos manques. Mais en aucun cas Il n’acceptera, sans notre collaboration, de nous rendre blancs comme neige et de nous garder dans cet état.
LES DOUZE ÉTAPES ET LES DOUZE TRADITIONS, P. 75
Dans mes prières, j’avais l’habitude d’omettre beaucoup des choses que j’avais à me faire pardonner. Je croyais que si je ne mentionnais pas ces choses à Dieu, il n’en entendrait jamais parler. Je ne savais pas qu’il suffisait que je me pardonne à moi-même certaines de mes actions passées pour que Dieu me les pardonne aussi. On m’avait toujours enseigné à me préparer pour mon voyage sur la terre ; ce n’est que chez les AA, quand je me suis montré honnêtement disposé à apprendre à pardonner et à me faire pardonner, que j’ai compris que le voyage, c’est la vie elle-même. Le voyage de la vie est une très belle aventure, tant que je suis prêt à changer et à être responsable.
Extrait du livre Réflexions quotidiennes
© Copyright 1991 by Alcoholics Anonymous World Services, Inc."
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Si nous le Lui demandons, Dieu nous pardonnera sûrement nos manques. Mais en aucun cas Il n’acceptera, sans notre collaboration, de nous rendre blancs comme neige et de nous garder dans cet état.
LES DOUZE ÉTAPES ET LES DOUZE TRADITIONS, P. 75
Dans mes prières, j’avais l’habitude d’omettre beaucoup des choses que j’avais à me faire pardonner. Je croyais que si je ne mentionnais pas ces choses à Dieu, il n’en entendrait jamais parler. Je ne savais pas qu’il suffisait que je me pardonne à moi-même certaines de mes actions passées pour que Dieu me les pardonne aussi. On m’avait toujours enseigné à me préparer pour mon voyage sur la terre ; ce n’est que chez les AA, quand je me suis montré honnêtement disposé à apprendre à pardonner et à me faire pardonner, que j’ai compris que le voyage, c’est la vie elle-même. Le voyage de la vie est une très belle aventure, tant que je suis prêt à changer et à être responsable.
Extrait du livre Réflexions quotidiennes
© Copyright 1991 by Alcoholics Anonymous World Services, Inc."
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«Les Alcooliques anonymes aident à te rebâtir» - Actualités - Abitibi Express
«Les Alcooliques anonymes aident à te rebâtir» - Actualités - Abitibi Express:
«L'alcoolisme est une maladie. On ne choisit pas ça. J'aurais aimé pouvoir prendre un verre et m'arrêter, mais j'en étais incapable. La bouteille contrôlait ma vie. J'avais besoin du bien-être que l'alcool me procurait. Mais après une ou deux bières, ...
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«L'alcoolisme est une maladie. On ne choisit pas ça. J'aurais aimé pouvoir prendre un verre et m'arrêter, mais j'en étais incapable. La bouteille contrôlait ma vie. J'avais besoin du bien-être que l'alcool me procurait. Mais après une ou deux bières, ...
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Olivier Ameisen : son livre sur le baclofène et l'alcoolisme est entendu, et réédité – Critiques littéraires : Actualité livres | MyBOOX
Olivier Ameisen : son livre sur le baclofène et l'alcoolisme est entendu, et réédité – Critiques littéraires : Actualité livres | MyBOOX:
Le livre d'Olivier Ameisen sur la molécule baclofène pour combattre l'alcoolisme, Le Dernier verre, soutenu par une décision récente de l'Agence nationale de sécurité du médicament, vient d'être réédité par Denoël. Il a fallu sept ans pour que les ...
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Le livre d'Olivier Ameisen sur la molécule baclofène pour combattre l'alcoolisme, Le Dernier verre, soutenu par une décision récente de l'Agence nationale de sécurité du médicament, vient d'être réédité par Denoël. Il a fallu sept ans pour que les ...
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Lavardac. L'alcoolisme à la loupe - 22/06/2013 - LaDépêche.fr
Lavardac. L'alcoolisme à la loupe - 22/06/2013 - LaDépêche.fr:
Tout au long du spectacle, les élèves ont été sollicités afin de donner leur avis et réfléchir sur les conséquences de l'alcoolisme. Plusieurs partenaires participent à cette opération, le conseil général d'Aquitaine, la DDJS, la société «Entreprise et ...
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Tout au long du spectacle, les élèves ont été sollicités afin de donner leur avis et réfléchir sur les conséquences de l'alcoolisme. Plusieurs partenaires participent à cette opération, le conseil général d'Aquitaine, la DDJS, la société «Entreprise et ...
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Michael Madsen condamné : La star, alcoolique, va partir se soigner en désintox
Michael Madsen condamné : La star, alcoolique, va partir se soigner en désintox:
Les tracas judiciaires de Michael Madsen se poursuivent, avec cette fois-ci l'acte final – on l'espère – d'un procès où l'acteur de Reservoir Dogs a été condamné à une cure de désintox. Le jugement fait suite à son arrestation en septembre dernier ...
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Les tracas judiciaires de Michael Madsen se poursuivent, avec cette fois-ci l'acte final – on l'espère – d'un procès où l'acteur de Reservoir Dogs a été condamné à une cure de désintox. Le jugement fait suite à son arrestation en septembre dernier ...
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Le binge drinking favoriserait l'insomnie et l'alcoolisme | Slate.fr
Le binge drinking favoriserait l'insomnie et l'alcoolisme | Slate.fr:
La proportion de jeunes qui boivent au moins cinq verres en une même occasion dans le mois est passée de 45,8% en 2005 à 48 ,7% en 2008 et à 53,2% en 2011. La proportion, chez les 15-16 ans, de ceux qui déclarent un usage récent d'alcool a atteint ...
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La proportion de jeunes qui boivent au moins cinq verres en une même occasion dans le mois est passée de 45,8% en 2005 à 48 ,7% en 2008 et à 53,2% en 2011. La proportion, chez les 15-16 ans, de ceux qui déclarent un usage récent d'alcool a atteint ...
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lundi 17 juin 2013
Alcool en milieu de travail: l'employeur peut demander des tests de dépistage | Faits divers et judiciaire | Actualité | Le Journal de Québec
Alcool en milieu de travail: l'employeur peut demander des tests de dépistage | Faits divers et judiciaire | Actualité | Le Journal de Québec:
OTTAWA – La Cour suprême du Canada a déterminé qu'une entreprise peut demander à un employé occupant un poste à risque de se soumettre à un test de dépistage d'alcool, mais à certaines conditions. Dans une décision à six juges contre trois, le plus
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OTTAWA – La Cour suprême du Canada a déterminé qu'une entreprise peut demander à un employé occupant un poste à risque de se soumettre à un test de dépistage d'alcool, mais à certaines conditions. Dans une décision à six juges contre trois, le plus
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Baclofène: ne pas en prescrire à un alcoolique relève de la non-assistance à personne en danger
Baclofène: ne pas en prescrire à un alcoolique relève de la non-assistance à personne en danger:
Si je parle en tant que médecin généraliste m'occupant de patients qui ont des problèmes d'alcool, je suis pour le baclofène. Si je parle en tant qu'universitaire, en tant que professeur de médecine générale je ne suis ni pour ni contre, car je mène ...
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Si je parle en tant que médecin généraliste m'occupant de patients qui ont des problèmes d'alcool, je suis pour le baclofène. Si je parle en tant qu'universitaire, en tant que professeur de médecine générale je ne suis ni pour ni contre, car je mène ...
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Alcoolisme: des groupes d'entraide pour sortir de la maladie - France 3 Corse ViaStella
Alcoolisme: des groupes d'entraide pour sortir de la maladie - France 3 Corse ViaStella:
L'alcoolisme, reconnue comme une maladie par l'OMS (Organisation mondiale de la santé), est la deuxième cause de mortalité évitable en France. Des associations d'alcooliques anonymes viennent en aide à celles et ceux qui veulent en sortir.
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L'alcoolisme, reconnue comme une maladie par l'OMS (Organisation mondiale de la santé), est la deuxième cause de mortalité évitable en France. Des associations d'alcooliques anonymes viennent en aide à celles et ceux qui veulent en sortir.
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jeudi 13 juin 2013
Le Grand Journal : l’alcoolisme des jeunes augmente-t-il ? Deux livres au cœur du débat – Critiques littéraires : Actualité livres | MyBOOX
Le Grand Journal : l’alcoolisme des jeunes augmente-t-il ? Deux livres au cœur du débat – Critiques littéraires : Actualité livres | MyBOOX:
Invitée du Grand Journal de Canal+ ce mardi 11 juin, la médecin et journaliste Marina Carrère d’Encausse, auteur d'Alcool, les jeunes trinquent (Anne Carrière) est revenu sur le phénomène inquiétant du "Binge drinking".
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Invitée du Grand Journal de Canal+ ce mardi 11 juin, la médecin et journaliste Marina Carrère d’Encausse, auteur d'Alcool, les jeunes trinquent (Anne Carrière) est revenu sur le phénomène inquiétant du "Binge drinking".
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Baclofène: rien ne justifie son utilisation contre l'alcoolisme à part l'enthousiasme
Baclofène: rien ne justifie son utilisation contre l'alcoolisme à part l'enthousiasme:
Avec le baclofène, je suis en plein dans mon domaine. J'ai monté un laboratoire qui a pour vocation de développer des traitements pour les dépendances: l'alcool en numéro un, la cocaïne en numéro deux et le troisième, ce sont les dérivés de l'opiacé.
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Avec le baclofène, je suis en plein dans mon domaine. J'ai monté un laboratoire qui a pour vocation de développer des traitements pour les dépendances: l'alcool en numéro un, la cocaïne en numéro deux et le troisième, ce sont les dérivés de l'opiacé.
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vendredi 7 juin 2013
Côte d'Or | Alcool : la souffrance des proches - Le Bien Public
Côte d'Or | Alcool : la souffrance des proches - Le Bien Public:
«Ensemble », comprendre les alcooliques et leur entourage. « Car l'alcoolisme est une maladie qui touche aussi famille et amis », explique Patrick, des Alcooliques anonymes de Bourgogne. Le thème sera débattu, à la maison familiale d'Agencourt, les 8 ...
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«Ensemble », comprendre les alcooliques et leur entourage. « Car l'alcoolisme est une maladie qui touche aussi famille et amis », explique Patrick, des Alcooliques anonymes de Bourgogne. Le thème sera débattu, à la maison familiale d'Agencourt, les 8 ...
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Baclofène, mode d'emploi - Pourquoi Docteur ?
Baclofène, mode d'emploi - Pourquoi Docteur ?:
Ce cardiologue y raconte sa propre guérison de l'alcoolisme grâce à de très fortes doses d'un médicament utilisé pour soulager les spasmes musculaires dont peuvent souffrir les paraplégiques ou les victimes de la sclérose en plaques. Grâce au baclofène ...
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Ce cardiologue y raconte sa propre guérison de l'alcoolisme grâce à de très fortes doses d'un médicament utilisé pour soulager les spasmes musculaires dont peuvent souffrir les paraplégiques ou les victimes de la sclérose en plaques. Grâce au baclofène ...
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Le canton de Saugues mobilisé contre l'alcoolisme sur zoomdici.fr (Zoom43.fr et Zoom42.fr)
Le canton de Saugues mobilisé contre l'alcoolisme sur zoomdici.fr (Zoom43.fr et Zoom42.fr):
Une récente étude nationale vient de tirer, à nouveau, le signal d'alarme sur les méfaits de l'alcool dans notre pays. 14 associations sportives et culturelles de la communauté de communes de Saugues, sensibles à la situation et conscientes de leur ...
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Une récente étude nationale vient de tirer, à nouveau, le signal d'alarme sur les méfaits de l'alcool dans notre pays. 14 associations sportives et culturelles de la communauté de communes de Saugues, sensibles à la situation et conscientes de leur ...
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jeudi 6 juin 2013
l'épicier s'éclairait à la bougie | Paris Normandie
l'épicier s'éclairait à la bougie | Paris Normandie:
Dans le cadre du « plan départemental de lutte contre l'alcoolisme et la consommation excessive d'alcool », la brigade canine a contrôlé, jeudi vers deux heures du matin, un homme sortant d'une épicerie située place cauchoise. Les policiers l'avaient ...
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Sensibilisation sur l’alcoolisme : Une campagne bienfaisante à Ladiana - leFaso.net, l'actualité au Burkina Faso
Sensibilisation sur l’alcoolisme : Une campagne bienfaisante à Ladiana - leFaso.net, l'actualité au Burkina Faso:
Au Centre-Ouest, en ville comme en campagne, tout comme dans d'autres régions du Burkina, l'alcoolisme est en passe, si ce n'est déjà le cas, de devenir un véritable problème de santé publique. Face à ce fléau social aux effets dévastateurs (maladies, ...
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Au Centre-Ouest, en ville comme en campagne, tout comme dans d'autres régions du Burkina, l'alcoolisme est en passe, si ce n'est déjà le cas, de devenir un véritable problème de santé publique. Face à ce fléau social aux effets dévastateurs (maladies, ...
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Alcoolisme : le Baclofène en passe d'être généralisé ? | Atlantico
Alcoolisme : le Baclofène en passe d'être généralisé ? | Atlantico:
Alcoolisme : le Baclofène en passe d'être généralisé ? Les autorités sanitaires françaises viennent d'autoriser une généralisation du Baclofène dans le traitement de l'alcoolodépendance. Mais cette mesure est pour l'heure temporaire, car seuls les ...
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Alcoolisme : le Baclofène en passe d'être généralisé ? Les autorités sanitaires françaises viennent d'autoriser une généralisation du Baclofène dans le traitement de l'alcoolodépendance. Mais cette mesure est pour l'heure temporaire, car seuls les ...
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Alcoolisme : baclofène en vue | Paris Normandie
Alcoolisme : baclofène en vue | Paris Normandie:
Le patron de l'Agence du médicament (ANSM), Dominique Maraninchi, a annoncé lundi qu'une « RTU » équivalent d'une autorisation de prescription « temporaire » pour traiter la dépendance à l'alcool serait accordée pour cette « vieille » molécule ...
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Le patron de l'Agence du médicament (ANSM), Dominique Maraninchi, a annoncé lundi qu'une « RTU » équivalent d'une autorisation de prescription « temporaire » pour traiter la dépendance à l'alcool serait accordée pour cette « vieille » molécule ...
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Alcoolisme. Le récit d'une victoire - Bretagne - Le Télégramme
Alcoolisme. Le récit d'une victoire - Bretagne - Le Télégramme:
Laurent Chapelain a vaincu l'alcool. C'est de cette plongée dans l'enfer de l'addiction ou plutôt du bonheur d'en sortir qu'il témoigne dans un petit livre d'à peine 75 pages, publié il y a quelques semaines à compte d'auteur et déjà écoulé à quelques ...
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Laurent Chapelain a vaincu l'alcool. C'est de cette plongée dans l'enfer de l'addiction ou plutôt du bonheur d'en sortir qu'il témoigne dans un petit livre d'à peine 75 pages, publié il y a quelques semaines à compte d'auteur et déjà écoulé à quelques ...
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mardi 4 juin 2013
lundi 3 juin 2013
samedi 1 juin 2013
Les Alcooliques Anonymes belges ont 60 ans - RTBF Societe
Les Alcooliques Anonymes belges ont 60 ans - RTBF Societe:
"En Belgique, le mouvement des Alcooliques Anonymes a 60 ans. Le premier lieu d'accueil, d'écoute et de parole a été créé en 1953 à Bruxelles. 60 ans plus tard, il en existe désormais 230 dans le pays."
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"En Belgique, le mouvement des Alcooliques Anonymes a 60 ans. Le premier lieu d'accueil, d'écoute et de parole a été créé en 1953 à Bruxelles. 60 ans plus tard, il en existe désormais 230 dans le pays."
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