dimanche 22 septembre 2013

Un Texan est capable de produire de l'alcool avec son estomac - Zapside

Un Texan est capable de produire de l'alcool avec son estomac - Zapside:

UN TEXAN EST CAPABLE DE PRODUIRE DE L'ALCOOL AVEC SON ESTOMAC
ALCOOL MALADIE TEXAS par Maxime Ablancourt | dans Insolite Santé | 21 Septembre 2013 à 17h00



SOUPÇONNÉ DE BOIRE EN CACHETTE, LES MÉDECINS ONT FINALEMENT IDENTIFIÉ QUE SON CORPS PEUT PRODUIRE DE L'ALCOOL.

La consommation d'alcool en trop grande quantité est dangereuse pour la santé. On peut rapidement sombrer dans l'alcoolisme si on en consomme trop. Mais comment faire pour se contrôler si votre corps synthétise seul de l'alcool ?

C'est arrivé à un Texan de 61 ans. Les proches de l'homme l'ont souvent soupçonné de consommer de l'alcool en cachette. Mais il a toujours nié ces accusations ce qui a bien entendu été source de tensions avec son entourage. Selon les médecins, l'homme est capable de synthétiser de l'alcool avec son estomac.

Au mois de novembre 2009, le Texan s'est présenté aux Urgences d'un hôpital afin d'effectuer des tests. Les médecins ont alors pu constater d'eux mêmes que son taux d'alcoolémie était trop élevé, il souffrait d'une sévère intoxication alcoolique. Pour prouver sa bonne foi, il est resté en observation durant 24h et son taux d'alcoolémie était toujours équivalent à celui d'un homme ayant consommé une pinte de bière il y a une demi-heure, soit 0,35g par litre de sang.

Seulement deux mois plus tard, à l'occasion d'un examen gastro-entérologique de suivi, les médecins ont réalisé quelques prélèvements afin de mieux comprendre le phénomène. Les analyses ont finalement révélé la présence d'une levure de bière dans son estomac.

L'équipe de médecin a donc souhaité réaliser une expérience en isolant l'homme durant 24 heures. Il a été placé dans une chambre vide afin de pouvoir contrôler totalement son alimentation. En mesurant son taux d'alcoolémie toutes les deux heures, ils ont remarqué une progression régulière tout au long de la journée. Heureusement, les médecins ont fini par trouver un traitement contre ce phénomène très handicapant.

Illustration : flickr.com
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dimanche 15 septembre 2013

Alcool et boisson énergisante: les mélanger nuit à la santé - Topsante.com

Alcool et boisson énergisante: les mélanger nuit à la santé - Topsante.com:

Mélanger alcool et boisson énergisante est une pratique à risque. Elle augmente la consommation d’alcool, et les risques d’intoxication. Elle accroit aussi la probabilité de commettre des actes violents.


© iStock

Cette pratique est très courante chez les étudiants et les clubbers. En effet les ¾ d’entre eux, qu’ils soient européens ou américains, boivent ce mélange d’alcool et de boisson énergisante.

Or, si cette pratique a un grand succès, elle semble être plus dangereuse pour la santé qu’on ne le croit. En effet, d’après le professeur de professeur Miller, professeur associé de psychologie à l'Université de Deakin en Australie, les communications scientifiques et médicales autour de cette pratique sont souvent faussées.

Des études faussées

Lors d'une récente conférence en Australie, quatre des cinq chercheurs qui ont présenté leurs recherches (positives) sur l'alcool et les boissons énergisantes ont reçu le soutien financier de Red Bull, explique le professeur Miller au British Medical Journal (BMJ). 

 Elles sont en partie sous-documentées et établies à partir de données peu probables. Ces enquêtes en laboratoire ne reflètent pas l'utilisation normale de ces boissons dans le «monde réel». Les chercheurs ont étudié les effets de ce mélange, mais avec de faibles niveaux d’alcool et sur la base de la consommation d’un seul verre de boisson énergisante.

En revanche, des études scientifiques portant sur les liens statistiques entre certains comportements et les buveurs de ce type de mélange révèlent qu'ils sont plus susceptibles de consommer de grandes quantités d'alcool, de s'engager dans des actes d'agression, de se blesser et de conduire sous les effets de l’alcool.
Trop de caféine dans les boissons énergisante

Une précédente étude a révélé que ces boissons contenaient trop de caféine. L’équivalent américain de 60 millions de Consommateurs, Consumer Reports, a testé 27 marques de boissons énergisantes, comme Red Bull, Rockstar et Starbucks Double Shot, et a constaté que les quantités de caféine allaient de 6 à 242 milligrammes par portion. Pour comparer, Consumer Reports rappelle qu'une tasse de 236 ml de café en contient environ 100 mg. Et qu’il est recommandé pour la santé de ne pas dépasser les 400 mg de caféine par jour.

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mercredi 11 septembre 2013

L'alcoolisme est-il génétique ? | Mon-Psychotherapeute.Com

L'alcoolisme est-il génétique ? | Mon-Psychotherapeute.Com:

L’alcoolisme est-il génétique ?




Il y a un nombre croissant de preuves scientifiques quel’alcoolisme a une composante génétique, mais le gène réel que cela pourrait entraîner n’a pas encore été identifié.

Les études sur des animaux de laboratoire ainsi que des sujets humains indiquent que les facteurs génétiques jouent un rôle majeur dans le développement de l’alcoolisme, mais juste combien un facteur reste indéterminé.

Une étude américaine affirme que l’utilisation de bière active produit la libération de dopamine dans notre cerveau ce qui nous pousserait à la consommation d’alcool. Cette étude vise à identifier les gènes responsables d’une vulnérabilité accrue à développer une dépendance à l’alcool.

Mickaël Naasila est professeur de physiologie et de biologie cellulaire dans le groupe de recherche sur l’alcool et les pharmacodépendances à l’Onserm. La fragilité à développer l’alcoolisme dépend de l’interaction entre des facteurs génétiques et environnementaux. Ces causes génétiques pèsent un poids imprécisable dans cette fragilité, environ 50%. Cela démontre que nous héritons bien de variantes génétiques.

« La consommation d’alcool est influencée par une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux », a déclaré Gene Erwin, PhD, professeur de sciences pharmaceutiques à l’école de pharmacie de CU, « cette étude indique que les facteurs génétiques jouent un rôle plus important, et nous essayons pour comprendre la puissance de ces facteurs génétiques ». Si l’alcoolisme peut être attribué à un gène ou d’une combinaison de gènes, comment les informations sont utilisées ?

La recherche pourrait aider à identifier les jeunes à risque de devenir alcooliques et pourrait conduire à des efforts de prévention précoce.
Des solutions psychothérapeutiques qui peuvent aider à guérir de l’alcoolisme

La psychothérapie de la toxicomanie ou d’alcool est axée sur la modification de comportement inadapté. Les gens qui abusent de drogues ou d’alcool font généralement comme un moyen de faire face à des expériences, des souvenirs ou des événements qui accablent leurs émotions. Même s’ils avaient développé des stratégies d’adaptation appropriées, les gens qui abusent reposent sur la satisfaction immédiate des drogues et de l’alcool plutôt que d’affronter les questions à portée de main.

Un thérapeute qui se spécialise dans la récupération de toxicomanie va aider un client à se fixer des objectifs réalisables à court terme afin de responsabiliser le client. Une fois que la sobriété est atteinte, les compétences en santé et d’adaptation peuvent être enseignées et développées et le thérapeute et le client peuvent commencer à explorer les questions qui ont conduit à la dépendance, en utilisant les nouvelles stratégies d’adaptation.

Ensemble, le client et le thérapeute vont travailler pour définir objectifs à plus long terme qui comprend la reconstruction des relations brisées, acceptant la responsabilité et la libération culpabilité. Un thérapeute compétent peut aider quelqu’un de dépendant de la drogue ou de l’alcool à surmonter leur dépendance et les mettre sur la voie de la réalisation de la vie qu’ils désirent vraiment.

Mon-Psychotherapeute.Com

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Lesparre : des permanences pour guérir de l’alcoolisme - SudOuest.fr

Lesparre : des permanences pour guérir de l’alcoolisme - SudOuest.fr:

Lesparre : des permanences pour guérir de l’alcoolisme

Le mouvement Vie libre est présent à Lesparre depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, des abstinents en organisent eux-mêmes les permanences


Lundi dernier, le groupe accueillait Anne Fontaine (à côté de M. Kancel) qui est sur le point d’obtenir sa carte rose. (Sylvaine Dubost)

Quand on est un mouvement national reconnu d’utilité publique, d’éducation populaire et d’organisme de formation, comme l’est Vie libre, et implanté sur une commune comme celle de Lesparre, il est normal qu’on fasse parler de soi. Michèle Cazeaux, la référente de Vie libre de l’antenne du Sud-Médoc, a donc profité du premier lundi de septembre pour présenter les permanences qu’elle anime avec deux autres personnes, Florence Castaing et Éric Kancel.

Si Mme Cazeaux et M. Kancel sont des « buveurs guéris », Mme Castaing est l’épouse d’un de ces malades alcooliques guéris.

Les bénévoles rencontrés, lundi dernier, sont unanimes : « Leur cellule de soutien des malades et de leurs entourages est primordiale pour assurer la pérennité de l’abstinence. » Celle-ci, au sein du mouvement Vie libre, est d’ailleurs récompensée au bout de six mois par la délivrance d’une carte rose, véritable sésame pour une vie meilleure, à la fois pour le malade alcoolique lui-même que pour sa famille.

Michèle Cazeaux se présente comme la « preuve vivante qu’il y a bien une vie après l’alcool ». La buveuse guérie confie être greffée du foie et doit sa survie, en partie, au mouvement qu’elle représente aujourd’hui, avec conviction.

L’activité des bénévoles ne s’arrête pas à la tenue de permanences (voir encadré) à Lesparre et à Soulac, mais aussi à la visite de malades alcooliques hospitalisés à Clinique mutualiste de Lesparre ou bien des visites à domicile.

« Le plus difficile, confie Michèle Cazeaux, est de faire venir les malades auprès de nous. » Il faut que les médecins ou les familles aient assez de persuasion pour faire reconnaître aux malades l’intérêt des groupes de paroles motivés par « la soif de s’en sortir », le slogan même de Vie libre.

« À Lesparre, nous travaillons en liaison avec le docteur Stépani, de la clinique », détaille Michèle Cazeaux qui dit toucher environ 20 personnes sur Lesparre, notant que plus de femmes que d’hommes, entre 40 et 60 ans, viennent régulièrement à ces rencontres qui sont entièrement gratuites.

En arrivant dans l’une de ces permanences, le malade s’entend poser la question : « Comment allez- vous ou comment vas-tu ? » Selon qu’il souhaite ou non être tutoyé.

C’est à force d’expérience que Michèle Cazeaux et ses deux collègues doivent desceller dans les propos des visiteurs s’il y a eu consommation ou pas. « Il n’est pas question de faire le procès des malades mais de les aider à surmonter leur appréhension. À se débarrasser de ce fléau qu’est l’alcool, tout en sachant que la rechute est toujours possible. »

Le prochain temps fort de l’antenne est fixé le 21 septembre où un groupe de paroles réservé aux femmes est ouvert dès 14 heures.

Lesparre

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Alcoolisme : résultats positifs pour un produit de sevrage, Actualités

Alcoolisme : résultats positifs pour un produit de sevrage, Actualités


L'Alcover de D & A Pharma permet de traiter avec succès 80 % des alcooliques.

L'Alcover est déjà commercialisé en Italie et en Autriche sous une forme liquide. D & A Pharma, qui détient les droits de commercialisation pour le reste du monde, développe une forme solide. - Photo DR


Les personnes souffrant d'alcoolisme vont-elles bientôt pouvoir bénéficier d'un traitement médicamenteux parfaitement validé tant au plan de l'efficacité que de la sécurité d'emploi ? C'est ce que laisse penser un ensemble de résultats cliniques obtenus avec l'Alcover, un produit développé par la société française D & A Pharma, présentés au Congrès de la Société européenne d'Alcoologie qui a débuté le week-end dernier à Varsovie.


« L'ensemble des données recueillies dans le cadre de deux études portant sur un total de plus de 440 patients confirme en effet que l'Alcover est efficace dans le sevrage alcoolique chez 80 % des patients » explique Patrice Debregeas, président de D & A Pharma. Et dans 80 % des cas, il n'y a pas de rechute au cours des six mois suivant l'arrêt du traitement. L'Alcover, en outre, est très bien toléré : pas d'effets secondaires ni de dépendance au produit. Ces résultats sont validés de surcroît par une troisième étude de type rétrospectif qui a analysé le devenir de 604 patients alcoolodépendants sévères traités entre 2005 et 2007 en Italie, où le produit vendu par la société CT Pharma disposait d'une autorisation de mise sur le marché (AMM).


D & A Pharma a donc déposé pendant la première quinzaine de juillet, auprès de l'Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM), un dossier pour commercialiser le produit en France puis, selon la procédure de reconnaissance mutuelle, dans d'autres pays européens de son choix. Pourtant, malgré les solides arguments du dossier, cela pourrait prendre du temps, car l'ANSM doit gérer le délicat dossier du Baclofène, un médicament autorisé comme relaxant musculaire mais de plus en plus utilisé hors AMM dans le sevrage alcoolique après la publication du livre du très médiatique Olivier Ameisen. Ses ventes ont ainsi progressé de 52 % en 2012, mais les effets indésirables dans le sevrage alcoolique ont, quant à eux, augmenté de 67 %. De quoi se poser des questions sur la sécurité du produit, questions auxquelles les deux études cliniques demandées par l'ANSM, menées l'une par l'Assistance publique et l'autre par la société Ethypharm, devraient apporter une réponse l'an prochain.


Dans l'attente de ces résultats, l'ANSM a indiqué qu'elle serait favorable à une recommandation temporaire d'utilisation pour le Baclofene. D & A Pharma pourrait donc devoir dans un premier temps se contenter d'une autorisation temporaire d'utilisation. Aussi Patrice Debregeas table-t-il sur des ventes de 5 millions d'euros seulement en 2014 mais vise 200 millions à l'horizon 2020.

Catherine Ducruet

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Définition de l'alcoolisme selon wikipedia

Définition de l'alcoolisme selon wikipedia

L'alcoolisme est la dépendance à l'alcool (éthanol) contenu dans les boissons alcoolisées. L'OMS reconnaît l'alcoolisme comme une pathologie et le définit comme des troubles mentaux et troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool1.

Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation (pharmacodépendance, craving), une dépendance psychologique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet).

La progression dans le temps est l'une des caractéristiques majeures de cette addiction. L'usage sans dommage (appelé usage simple) précède l'usage à risque et l'usage nocif (sans dépendance), puis enfin la dépendance. L'alcool est une substance psychoactive à l'origine de cette dépendance mais elle est également une substance toxique induisant des effets néfastes sur la santé. L'alcoolodépendance est à l'origine de dommages physiques, psychiques et sociaux.

source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Alcoolisme