mercredi 28 août 2013

Alcoolisme: 405 effets indésirables recensés pour le baclofène en 2012 - RTBF Societe

Alcoolisme: 405 effets indésirables recensés pour le baclofène en 2012 - RTBF Societe:


Alcoolisme: 405 effets indésirables recensés pour le baclofène en 2012




Une boîte de Baclofène

tLes effets indésirables du baclofène utilisé contre l'alcoolisme sont en augmentation par rapport à l'année précédente, avec 405 cas recensés, soit 163 de plus qu'en 2011, selon un bilan du suivi national mis en ligne par l'Agence du médicament ANSM.


Le nombre de comprimés de baclofène vendus a progressé de 52% en 2012, par rapport à 2011, indique le compte-rendu du Comité technique de pharmacovigilance (CTV) du 16 avril 2013, que l'ANSM vient de publier. D'après les laboratoires, environ la moitié des ventes correspondrait à un traitement de l'alcoolo-dépendance.

"Au cours de l’année 2012, 263 cas (93 graves et 170 non graves) correspondant à 405 effets indésirables ont été rapportés dans le traitement des addictions, soit 163 cas de plus que pour l’année 2011", précise le rapport.

"Cette augmentation peut s’expliquer par une moindre sous-notification et/ou une augmentation de la fréquence de survenue des effets indésirables", relève-il.

Les troubles neurologiques représentent 33,6% des effets indésirables, les troubles psychiatriques 21% et les troubles gastro-intestinaux 10%.

Le baclofène est autorisé depuis 1974 mais seulement pour les contractures musculaires. Il est sinon prescrit dans la dépendance à l'alcool, hors de son indication officielle d'autorisation de mise sur le marché (AMM).

Dans ce cadre, des effets indésirables moins connus ont été relevés comme des troubles sensitifs et sensoriels, des insomnies et des décompensations maniaques.

En revanche, les inquiétudes concernant des risques de cancers ou de troubles sanguins ne sont pas confirmés dans ce rapport.

Le rapporteur préconise la poursuite de ce suivi national de pharmacovigilance et l'accès à une RTU (recommandation d'utilisation temporaire) équivalent d'une autorisation de prescription "temporaire" pour traiter la dépendance à l'alcool. Une mesure qui devrait être accordée, avait annoncé en juin dernier le patron de l'Agence du médicament (ANSM), Dominique Maraninchi.

Le rapporteur suggère de mettre à jour les caractéristiques du produit en indiquant les risques de décompensation maniaque, de dépression et de passage à l'acte suicidaire, et d'ajouter des effets indésirables (troubles anxieux, apnée du sommeil...).

Il relève également l'intérêt d'une "prescription centralisée", comme à Lille, qui a permis de diminuer la gravité des effets indésirables (25% contre 57% dans le reste de la France) et préconise de mettre en place de telles "mesures de minimisation de risques".

L'alcool reste en France la 2e cause évitable de mortalité après le tabac (49.000 morts par an selon une étude récente de l'Institut Gustave-Roussy).

lundi 19 août 2013

Une explication de la vulnérabilité à l’alcoolisme | PsychoMédia

Une explication de la vulnérabilité à l’alcoolisme | PsychoMédia:


Une explication de la vulnérabilité à l’alcoolisme
Soumis par Gestion le 18 août 2013




Les personnes vulnérables à l’alcoolisme (dépendance à l'alcool) pourraient présenter une réponse cérébrale caractéristique lorsqu’elles consomment de l’alcool, selon une étude québécoise publiée dans la revueAlcoholism: Clinical & Experimental Research.

Elles présentent une réponse dopaminergique plus marquée au niveau de la voie de récompense du cerveau.

Les études montrent "qu’il existe de multiples voies intervenant dans l’alcoolisme, chacune étant associée à certains traits de personnalité et à certaines caractéristiques neurobiologiques", explique le Pr Marco Leyton, du Département de psychiatrie de l’Université McGill.

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vendredi 16 août 2013

The Spectacular Now: avec modération | Métro

The Spectacular Now: avec modération | Métro:


The Spectacular Now: avec modération
Par Ned EhrbarMetro World News



Films SévilleUne image tirée de Spectacular Now


Le réalisateur du film The Spectacular Now, James Ponsoldt, se confie sur la façon d’intéresser les adolescents et d’éviter de prêcher.

James Ponsoldt propose un suivi de l’acclamé Smashed, film sorti l’an dernier et traitant d’alcoolisme, avec The Spectacular Now, adapté d’un roman de Tim Tharp portant sur un collégien populaire et noceur (Miles Teller) qui commence à avoir un problème d’alcool. Le film a triomphé à Sundance et propulsé Ponsoldt dans une tournée de festivals, ce dont le réalisateur ne se plaint évidemment pas.

Comment pouvez-vous réfléchir à de nouveaux films tout en poursuivant, depuis des mois, une tournée de festivals?
Je ne cesse jamais de travailler. J’ai toujours mon ordinateur portatif avec moi. Mon trouble de l’attention est trop grand pour que je me dise : «Tiens, j’ai 45 minutes, je vais bosser sur tel truc.» Non, il me faut une fenêtre de trois heures. Mais je m’améliore! Comme je participe à beaucoup de festivals, je ne vais pas systématiquement à toutes les fêtes. J’essaie d’être au lit avant minuit. Et je m’efforce de me lever toujours plus tôt. Si, par exemple,
j’ai quelque chose à 10 h, eh bien, je me lève à 5 h 30 ou 6 h pour essayer d’avoir trois heures pour écrire. J’essaie d’ailleurs toujours d’écrire trois heures par jour. Et si je dispose d’une journée de congé, je tente de la mettre à profit du mieux que je peux. Mais c’est dur. Voyager, du moins dans mon cas, bousille vraiment le rythme interne.

Avez-vous du mal à intéresser les adolescents? J’ai lu des tas d’articles portant sur «la façon dont l’internet a changé les choses». 
Selon vous, est-ce sur le plan émotif, interne?
Nous restons les mêmes. Je crois que l’internet rend les choses plus accessibles à tout le monde et change, en effet, les choses, mais le fait que vous puissiez tweeter ou envoyer un message texte ne signifie pas que vous n’êtes plus capable d’être romantique et de faire preuve d’initiative.

Alors, qui a-t-il dans la flasque du personnage principal?
Je crois que c’est du whisky. J’ai grandi à Athens, en Géorgie, et mes amis et moi avons commencé à boire beaucoup en sixième année. Et nous buvions du fort. Nous avions un thermos et, le lundi soir, nous faisions un raid sur le bar de nos parents. Nous remplissions le thermos en y versant un peu de tous les alcools, puis nous ajoutions du Kool-Aid. Ensuite, nous buvions cette mixture durant le lunch le lendemain. Il s’agissait d’une sorte de punch fait d’alcools forts et de jus.

Vous parvenez à parler d’alcoolisme dans vos films sans être prêcheur.
Eh bien, faites-vous confiance à quelqu’un qui vous dit qu’il a un message pour vous? Sans doute pas. Moi non plus d’ailleurs. Je considère que les films à thèse qui parlent de questions sociales sont les pires de tous. Ils sont tellement abstraits! Ils ne traitent pas d’un personnage et ils ne racontent pas une histoire. Pour ma part, je considère que je ne suis pas en position de juger qui que ce soit, et je n’en ai d’ailleurs aucune envie. En plus, cela fait des intrigues terriblement mauvaises. Ces films ont simplement l’air cyniques
et mesquins.

The Spectacular Now
En salle vendredi
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lundi 12 août 2013

Les gendarmes du Gard parlent toxicomanie et alcoolisme sur les plages - France 3 Languedoc-Roussillon

Les gendarmes du Gard parlent toxicomanie et alcoolisme sur les plages - France 3 Languedoc-Roussillon:

Les gendarmes du Gard parlent toxicomanie et alcoolisme sur les plages

L'été tout est permis, enfin presque. Le temps des vacances est propice aux découvertes et jeux interdits. Reste que les gendarmes veillent et font de la prévention sur les plages. Au Grau-du-roi, ils parlent sans tabous aux jeunes des drogues et de l'alcool, avec une exposition originale.

Par Fabrice Dubault

Publié le 11/08/2013 | 19:16, mis à jour le 12/08/2013 | 15:05

© F3 LR Un gendarme présente un broyeur de cannabis dissimulé dans une cannette de bière - août 2013.

Pas simple de parler prévention et toxicomanie, l'été, au soleil, sur les plages.
Une bonne dose de patience est nécessaire, encore plus de psychologie et surtout il ne faut pas hésiter à combattre les poncifs, les lieux communs et même l'innocence de certaines personnes.

Tout ce qui est présenté dans la vitrine des gendarmes a été saisi et mis à disposition par le parquet à des fins pédagogiques.

mercredi 7 août 2013

Test psycho: où en êtes-vous avec l'alcool? - L'EXPRESS

Test psycho: où en êtes-vous avec l'alcool? - L'EXPRESS:

Un petit test qui vous intéressera peut-être moi je les passe tous haut la main ces tests lèa hihihhi Mouze Alcoolique

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Alcool: s'affranchir de la dépendance, c'est aussi surmonter l'obstacle du regard d'autrui - le Plus

Merci Pierre pour la justesse de tes propos... Mouze Alcoolique

Alcool: s'affranchir de la dépendance, c'est aussi surmonter l'obstacle du regard d'autrui - le Plus:


Alcool: s'affranchir de la dépendance, c'est aussi surmonter l'obstacle du regard d'autrui
Publié le 06-08-2013 à 15h17 - Modifié le 06-08-2013 à 17h22




Par Pierre Veissière
psychosociologue


LE PLUS. Il est encore loin le temps de la fête des vendanges. Le mois d'août est plutôt synonyme de ferias... et de réjouissances souvent alcoolisées. Pour Pierre Veissière, auteur de "Kit de secours pour alcoolique", il est temps qu'on arrête de considérer que fête et alcool vont ensemble et que les anciens alcooliques, devenus abstinents, sont socialement anormaux.

Édité par Daphnée Leportois Auteur parrainé par Aude Baron





L'alcool synonyme de soirée réussie, un credo dont souffrent les alcoolodépendants qui tentent de sortir de leur addiction (SIPA).

Pour les alcooliques, se séparer de l’alcool paraît au départ insurmontable. Le lien était devenu viscéral, vital. La relation à l’alcool et à l’existence se trouve bouleversée. Au début, plane aussi la menace du"craving", cette impérieuse pulsion à boire immédiatement. Mais le facteur en permanence déstabilisant est la crainte de la réaction des autres, de ce qu’ils vont penser.

Les difficultés durables, qui se présentent très vite, sont ici sociales. Vous arrêtez de fumer, c’est très bien accueilli. Vous arrêtez de boire, vous suscitez l’interrogation instantanée (inquiète, inquisitrice, agressive, rarement bienveillante).

Reboire par crainte d'être discriminé


La maladie ne se voit pas. Le comportement social, si. De nombreux alcooliques en rétablissement font la confusion. Beaucoup d’alcoolodépendants, devenus "pathologiquement a-normaux" en ce sens qu’ils ne peuvent plus boire d’alcool impunément, se sentent surtout et automatiquement "socialement a-normaux" puisque, effectivement, s’ils respectent la base du traitement, ils ne doivent plus boire d’alcool. Et ça, ça se remarque, ou du moins le croient-ils.

Social et pathologique ne sont pas clairement différenciés. Le social est tellement fort, la crainte du regard des autres si vive que la peur d’apparaître différent, d’être rejeté, incite à reboire pour ne pas paraître à l’écart, irrémédiablement étrange et étranger. Le besoin grégaire d’appartenance, d’être accepté, d’être conforme, prévaut souvent.

C’est risquer d’être discriminé, défavorablement, qui est craint et incite à calquer son comportement sur celui de la majorité : boire, donc reboire, malgré le risque, à court terme, de rechuter.

L’appartenance magique à la même tribu, le "tous pareils"/"tous unis", le rituel enraciné, la peur de la contamination du troupeau par la brebis malade, l’offrande refusée du liquide sacralisé, le poncif de la tristesse de l’abstinence font craindre cette mise à l’écart, le catalogage comme un être désormais infréquentable, indigne, la mise au grand jour de la différence qui maintenant n’est plus dissimulée, la modification inéluctable des relations.

Marginalisation par le sevrage


Les préjugés à l’égard de l’alcoolique sont archaïques : on soupçonne "l’a-normal", le malade d’y être un peu pour quelque chose, d’être dangereux pour le groupe, d’être vaguement contagieux, inquiétant, d’avoir fauté, de l’avoir cherché, d’être une sorte de terra incognita néfaste, malfaisante…

Ce ne sont pas des "pensées" mais des clichés, stéréotypes et réflexes conditionnés, rationnellement éculés, mais profondément enracinés.

L’égalitarisme, actuellement envisagé comme une vertu sociale impérative, et la crainte d’être stigmatisé jouent aussi un rôle dissuasif dans le maintien de l’abstinence.

Au passage, inégalité culturelle surprenante : si un consommateur de drogues illicites parvient à se sevrer, il peut revenir dans le giron de la société normale. En revanche, un alcoolique, accomplissant la même démarche vis-à-vis de sa propre drogue, obtient un résultat strictement inverse : c’est en devenant abstinent qu’il se marginalise (cf. p. 97 de "L'alcool : alibis et solitudes - Cours d'alcoologie", de Jean Morenon et Jean Rainaut).

L'abstinence, prix à payer


Une inclination (temporaire ?) partagée par certains médecins, et bon nombre de patients, tend à vouloir croire à une possible guérison, qui autoriserait la consommation contrôlée comme objectif thérapeutique valable. C’est parfait pour les "buveurs excessifs", amalgamés ici, par artifice, aux alcoolodépendants réels.

La mode serait à l’indifférenciation : pas de frontières entre les deux, tous embarqués dans le même bateau du traitement sanitaire et social des abus d’alcool. Tous similaires, censés obéir au mythe de l’égalité.

Mais, si la matière n’était pas aussi tragique, cette crédulité opportuniste ferait sourire les véritables alcoolodépendants, qui ont compris depuis longtemps que l’abstinence d’alcool est le prix de base à payer pour connaître enfin la libération.

Et cette libération, complètement sous-estimée par les patients qui n’en ont pas idée, par la société, et par ceux des soignants qui prennent les demandes initiales des malades pour argent comptant ("Donnez-moi une pilule, je pourrai continuer à boire pas plus que les autres, et mon âme sera guérie.") est une splendeur, mille fois plus savoureuse que de pouvoir, occasionnellement, reboire un verre.

Puissance addictive de l'alcool


Ce prix, qui paraît énorme aux profanes, est en fait fort bon marché pour les bienfaits réels qu’il procure à la personne concernée.

Un alcoolique suspendu à l’absorption d’un verre, un seul, de temps en temps, ce serait cela la liberté ? Quelle dérision, quel fétichisme ! Mais aussi quel indice de la puissance addictive de l’alcool auprès de ses assujettis et affidés, et de celle du conformisme normalisateur…

Les alcoolodépendants ont un seul point spécifique de différence fondamentale avec la majorité des consommateurs d’alcool. Il est quand même insensé, et peu altruiste, de continuer à l’ignorer, ou à faire, d’une tête d’épingle, un signe de divergence insurmontable.

Pourquoi "la différence", qui est par ailleurs prônée comme éminemment intéressante et respectable, ne le serait précisément pas à l’égard de l’alcoolique, dont l’affection exige, pour qu’il se rétablisse, réellement et complètement, de cesser de boire de l’alcool, quelles que soient les circonstances ? Pourquoi s’ingénierait-on à ne pas respecter la seule nécessité sanitaire que le cœur de sa maladie, l’alcoolodépendance, impose pour qu’il récupère une vie de bonne qualité ?

Plaisir de trinquer sans alcool

Il n’y a guère à craindre des alcoolodépendants l’ostentation de leur spécificité, ou la moindre revendication communautariste. Il est juste émis le souhait que la société se rende enfin compte que, pour des raisons médicales, certains de ses membres, pour se soigner et aller bien, doivent ne plus consommer du tout d’alcool.

Et que, dans une société civilisée, le plaisir d’être avec, d’être ensemble, pourrait primer sur le partage rituel obligatoire de ce produit ancestral, certes magique, mais devenu poison pour une importante fraction d’entre nous. Porter un toast, trinquer n’implique nullement que ce soit, ad vitam aeternam, exclusivement avec de l’alcool pour tout le monde.

L’alcoolique craint, à juste titre, d’être perçu comme "a-normal" par la société, après avoir appris, et commencé à accepter, sa propre a-normalité sanitaire. Mais, "atypique", il l’a été bien souvent par le passé, sans que cela déplaise à quiconque. Rien ne devrait l’empêcher de continuer à être légèrement atypique, à la satisfaction générale, tout en consommant désormais, avec l’assentiment collectif, parce que sa santé l’exige, exclusivement des liquides non alcoolisés.

Une étincelle de raison et d’espoir concret en vue…

Pierre Veissière est l'auteur de "Kit de secours pour alcoolique" (également en e-book) préfacé par le professeur Bernard Hillemand, de l'Académie de médecine (Grrr...art Editions).
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vendredi 2 août 2013

Le capitaine de "La croisière s'amuse" révèle son passé sombre - 7SUR7.be

Le capitaine de "La croisière s'amuse" révèle son passé sombre - 7SUR7.be:

Par: Catherine Delvaux

© La croisière s'amuse.
© getty

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© L'autobiographie de Gavin MacLeod.

Avant d'embarquer à bord du Pacific Princess, Gavin MacLeod, joyeux capitaine de "La croisière s'amuse" durant neuf saisons dans les années 70 et 80, a lutté contre des problèmes d'alcool et de dépression, rapporte People.

Loin de l'existence insouciante du Love Boat, l'acteur de 83 ans raconte ses tempêtes personnelles dans une autobiographie intitulée "This is your Captain Speaking" (à paraître le 22 octobre).

Gavin MacLeod a survécu à deux crises cardiaques et affronté deux divorces à cause de son alcoolisme. En 1974, il prend une grande décision et arrête complètement de boire. "J'ai eu ce que je désirais: je suis devenu un capitaine", écrit-il.

"J'ai reçu ce don incroyable de la vie et maintenant je veux l'utiliser pour donner en retour. C'est pourquoi je partage mon histoire ici, les parties amusantes mais aussi les moins drôles, dans l'espoir de partager mes souvenirs et peut-être d'aider quelqu'un."

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VIDEO. Campagne choc contre l'alcoolisme en Grande-Bretagne

VIDEO. Campagne choc contre l'alcoolisme en Grande-Bretagne:

(Pour voir la vidéo cliquez sur le lien ci dessus)


Londres veut sensibiliser les usagers des transports en commun aux dangers de l'abus d'alcool. Afin de marquer les esprits, des images de voyageurs en état d'ébriété sont diffusées sur internet.(France 2 - Anne-Charlotte Hinet et Thomas Donzel)

Par Francetv info

Un homme titube au bord d'un quai, alors qu'un train entre en gare. Il tente de se rattraper en s'appuyant au wagon en marche. Mais il est happé sous le train. L'homme a survécu. Son accident a été filmé par les caméras de vidéosurveillance de la gare. Les images ont été retenues pour illustrer un spot de prévention. Car la Grande-Bretagne veut sensibiliser les usagers de ses transports en commun aux dangers de l'abus d'alcool, comme l'explique les correspondants de France 2 à Londres dans leur reportage, diffusé mercredi 31 juillet.

Afin de marquer les esprits, des images de voyageurs en état d'ébriété sont diffusées sur internet. Autre scène : à Edimbourg, un homme en kilt tente de donner un coup de pied dans un pigeon. L'oiseau s'envole à temps. L'homme, lui, est emporté par son élan. Il perd l'équilibre et tombe sur les rails, tête la première. En un an, plus de 1 600 accidents de ce type se sont produits dans les gares du pays.
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Définition de l'alcoolisme selon wikipedia

Définition de l'alcoolisme selon wikipedia

L'alcoolisme est la dépendance à l'alcool (éthanol) contenu dans les boissons alcoolisées. L'OMS reconnaît l'alcoolisme comme une pathologie et le définit comme des troubles mentaux et troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool1.

Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation (pharmacodépendance, craving), une dépendance psychologique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet).

La progression dans le temps est l'une des caractéristiques majeures de cette addiction. L'usage sans dommage (appelé usage simple) précède l'usage à risque et l'usage nocif (sans dépendance), puis enfin la dépendance. L'alcool est une substance psychoactive à l'origine de cette dépendance mais elle est également une substance toxique induisant des effets néfastes sur la santé. L'alcoolodépendance est à l'origine de dommages physiques, psychiques et sociaux.

source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Alcoolisme