dimanche 28 octobre 2007

Pour les nouveaux dans le mouvement des AA

Partant de ma propre expérience dans les AA j’adresse cette lettre à toi le nouveau qui voudrait essayer d’arrêter de boire pour aujourd’hui avec AA.

Qu’importe les raisons qui te fais venir à une réunion l’important c’est de venir au début.

Sache qu’il n’est pas nécessaire d’avoir la foi en Dieu et que ce Dieu n’est rien d’autres qu’une puissance supérieure. Personne dans le mouvement ne t’imposera un Dieu ou une façon de penser. Les AA ne sont pas une secte. Et n’appui et ne conteste aucune cause c’est un mouvement autonome et neutre.

Si as ta première réunion tu ne t’identifie pas aux autres ne t’en fait pas moi aussi au début c’était comme ca et ca peut prendre du temps, à chacun son rythme. Le but n’est pas non plus de s’identifier à chacun, chaque personne est différente et il est normal d’avoir je crois plus d’affinité avec certaines personnes.

L’important n’est pas la façon dont tu fais du mouvement parce que chacun a sa progression et c est ça qui est merveilleux dans ce mouvement. Il y a un slogan qui dit : ‘l’important d’abord’ ce qui signifie pour moi : ‘Ne pas boire aujourd’hui’.

C’est vrai que l’implication dans le mouvement ça aide mais ne te sens pas coupable de ne point en faire si t’en a pas envie.

Au début je ne comprenais rien, aujourd’hui j’en comprends un peu plus mais pas tout.

Ne te mets pas de pression avec les étapes, l’important c’est d’être disposer à essayer.

Il peut t’arriver que des émotions remontent en surface et c’est merveilleux ainsi, tu es en contact avec toi.

Tout ne se fait pas en un jour mais cela se fait un jour à la fois.

Tout ce que je peux dire c’est que tout n’est pas merveilleux dans ma vie mais beaucoup mieux que quand je consommais.

Je te souhaite à toi le nouveau de te sentir comme moi chez toi chez les AA. C'est-à-dire que tu as ta place ici tout comme moi tu l’as payé assez cher. :)

Bonne journée,

Mouze Zoomba

Un peu de lecture: petit guide pratique des AA

samedi 20 octobre 2007

Reponse a l'article de Pierre-Yves Boily Travailleur social de Québec dans le Soleil ce vendredi

Tout d'adord voici son article:

Le vendredi 19 octobre 2007

La dépression, une maladie?

Sous prétexte de contrer les préjugés à l'égard des personnes déprimées, une publicité du gouvernement du Québec, se termine en affirmant que la dépression est une maladie. Pour tous ceux qui tiennent à classer le comportement humain en catégories nécessitant un traitement pharmacologique dès qu'ils transgressent une normalité, rien de mieux que les petites boîtes psychiatriques du DSM-IV. Ce canevas de «recherche», établi par une seule spécialité d'une seule profession, tend à nous faire croire avec des mots issus du grec ancien que les réactions humaines sont saines ou malsaines en raison de conditions intrapsychiques et biologiques.

Or, la dépression peut aussi être considérée comme une réaction sensible et intelligente à un milieu stupide et dangereux, à des conditions de vie axées sur une compétition et une performance inhumaine. Le corps et l'esprit font une pause, se rebellent contre des exigences de «normalité» complètement folles.

Bien sûr, des milliers de personnes «traitées» aux antis dépresseurs, jureront que la psychiatrie les a beaucoup aidées à traverser leur «maladie» mais personne ne saura ce qu'elles auraient changé ensemble si elles s'étaient attaquées aux conditions de vie qui les ont siphonnées. Je préfère l'ancienne expression de bien-être social à celle plus chimique de santé mentale.

Pierre-Yves Boily
Travailleur social
Québec

Et voici ma réponse:

Cher M. Boily je demande des excuse de votre part pour tous ceux qui sont aux prises avec la maladie de la dépression. Vous êtes insultant pour ces malades en mélangeant déprime et dépression.

Vous devriez applaudir ces messages commerciaux du gouvernement qui aident à diminuer les tabous sur les maladies mentales.

En tout cas vous en n'avez pas côtoyé beaucoup de personne aux prises avec des maladies mentales dans votre pratique mais sachez que ça existe bel et bien.

Je crois aussi que vous mélangez industrie pharmaceutique et profession psychiatrique; la première veut faire des profits mais la deuxième vise à aider ces personnes.

Et soyez gentil ayez l'amabilité de signer vos articles avec votre nom seulement quand il s'agit de votre opinion personnelle pas besoin d'inclure toute votre profession.

Mouze

dimanche 14 octobre 2007

Lettre aux Alcooliques

Bon matin je reviens de ma réunion du dimanche matin et je suis plein de gratitude face au mouvement AA qui m’a sauvé la vie. Hier je me suis couché un peu tard parce que j’ai lu un texte de Pierre Fouquet qui s’adresse à l’alcoolique qui rentre dans son département de thérapie fermé en 1956. Il s’agit de douze lettres dont les pensionnaires reçoivent une a chaque jour pour les aider à comprendre la maladie. Hier à la lecture de ces lettres j’ai vu que le traitement n’a pas énormément changé depuis.

Je vous donne le liens si cela vous intéresse de lire ces les lettres : http://www.croixbleuepoissy.com/lettres_fouquet.htm




Voilà ce qu’il pense des Mouvement comme celui des AA :



"LES GROUPEMENTS DE POST-CURE 2 -Vous devez connaître l'existence de groupements d'anciens malades.
Ils constituent une modalité de psychothérapie collective qui ne s'oppose nullement aux liens psychothérapiques personnels noués entre vous et moi; au contraire, ces activités peuvent être pour vous un complément de cure extrêmement utile, durable et puissant.


Pour lutter contre l'incompréhension générale de la Société et contre le sentiment déprimant d'être seuls de leur espèce, donc plus ou moins rejetés et abandonnés, d'anciens buveurs ont créé des associations. Historiquement ce furent d'abord les églises protestantes, puis catholiques qui, désirant venir en aide à certains de leurs membres en difficultés avec l'alcool, suscitèrent, à la fin du siècle dernier, ces mouvements confessionnels. Grâce au recours spirituel, ils engagent leurs adhérents non seulement à lutter individuellement pour leur propre cause, mais
aussi à pratiquer une activité militante de prosélytisme : dénoncer le péril alcoolique et ses funestes conséquences, combattre ses causes, aider les victimes à trouver, avec l'aide de Dieu, les voies du salut.


Plus tard, se sont créés des groupements soit professionnels, soit nationaux, soit même internationaux; selon les pays, ils connaissent des succès divers. Le plus connu, de fondation relativement récente (1935), est celui des "Alcoholics Anonymous" qui, aux Etats-Unis, rassemble plus de 100.000 membres et possède des filiales dans de nombreux pays. Son succès est dû à l'édification d'une véritable doctrine concernant les fondements de la maladie
et sa thérapeutique morale.


En France, deux Groupes d'obédience religieuse 3, "Ia Croix Bleue" et "La Croix d'Or", sont devenus très actifs depuis la dernière guerre. Sont nées d'autres associations d'aide aux anciens buveurs, par exemple : "Vie libre", "Joie et Santé" , "Amitié P.T.T.» .Tous développent une grande activité sur le territoire national.


Je suis à votre disposition pour vous donner des détails complémentaires sur l'un ou l'autre de ces mouvements français, étrangers ou internationaux. Je tiens leurs adresses, centrales ou régionales, à votre disposition. Tous éditent des journaux, des brochures ou des livres, et réunissent périodiquement leurs membres. Vous pourrez trouver une documentation très large sur tous ces points au Comité National 4, 20, rue Saint-Fiacre, Paris, 2", où
une visite de votre part sera toujours bien accueillie.


Retenez enfin que si les règles particulières à chacun de ces groupements sont parfois assez différentes, leurs fondements, que vous pratiquiez ou non une religion, s'inspirent en grande partie des principes de base suivants : seul un ex-alcoolique peut comprendre ses frères de misère 5. Il a lutté pour lui, il doit maintenant lutter pour les autres, activité qui le soutiendra personnellement. Il est alors capable de découvrir l'ampleur terrifiante du mal sur le plan collectif; par le combat auquel il est convié, il donnera un sens nouveau à sa vie.
Pendant votre séjour ici, vous aurez la possibilité d'assister à une ou plusieurs réunions de l'un de ces Groupements. Nous aurons ensuite à en parler. Parmi bien d'autres choses, vous y découvrirez une fraternité humaine inconnue de vous. Votre conjoint pourra également en bénéficier.



2 Même remarque – On dirait aujourd'hui : groupes, mouvements ou associations d'anciens buveurs.
3 Cette appartenance confessionnelle très marquée à l'origine n'existe plus aujourd'hui. Tous ces mouvements sont, sans exclusion, strictement indépendants de toute organisation politique, syndicale ou religieuse.
4 Le Comité National des années 1950 est devenu aujourd'hui l'Association Nationale de Prévention de l'Alcoolisme (A.N.P.A.).
5 Bien que fortement ancré dans l'esprit d'une majorité des anciens buveurs, tout au moins au début de leur vie sans alcool, ce sentiment est loin d'être partagé par tous. Les capacités d'écoute et d'accompagnement ne sont nullement l'apanage des personnes ayant été dépendantes, et les personnes qui font partie de l'entourage d'un ancien buveur savent également ce que souffrir de l'alcool veut dire.



Vous comprendrez mieux alors que le programme de soins intensifs qui a été suivi pendant votre stage ici constitue seulement le tout début d'un long processus. C'est pourquoi je vous engage à fréquenter l'un ou l'autre de ces Groupes.


Le rôle du médecin va se modifier : autant il a pu être primordial à certains moments, autant il va maintenant diminuer d'importance; ce sont surtout les Autres qui pourront vous aider. Ceci n'empêche pas que je désire quevous puissiez revenir me voir régulièrement à la consultation pour que nous suivions ensemble les développements de votre renouveau."



Tiré de la lettre intitulé : La Post Cure dans Lettre aux Alcooliques 1956.

Voilà c’était mon partage d’aujourd’hui j’espère vous aurez autant de plaisir à lire ces lettres que moi.


Je vous donne aussi le lien sur Wikipdia qui parle de sa conception de la maladie de l’alcoolisme : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Fouquet


À bientôt!

mercredi 10 octobre 2007

Ca n'a pas ete comme je le pensais....

Juste un petit mot pour vous dire que l’aventure de baisser ma médication ma pas bien réussi, premièrement mon sommeil était très léger puis la première journée je me suis senti mieux. Mais le lendemain après une autre nuit sans vraiment dormir j’allais travailler et je me sentais super tendu, agressif même je commence à croire que j’ai vraiment besoin de cette médication et que j’ai malheureusement un problème de santé mentale. J’ai vu mon thérapeute mardi soir et il m’a trouvé bizarre et même il était inquiet. Lundi je me sentais super mal j’avais sauté les plombs a mon travail avec quelques personnes.

Je crois que l’idée de baisser ma dose de moitié d’un coup n’était pas bonne depuis hier soir je reprends ma médication normale et j’ai passé une journée formidable au travail.

Mon amie ma dit que je devrais le faire si je le voulais sous supervision médicale d’ailleurs mon thérapeute abonde dans ce sens.

Le film de Québec sous ordonnance de Paul Arcand que j’ai vu ainsi que le médecin au congrès des AA a remis en question le fait de prendre des médicaments pour moi. Je ne blâme nullement ce film qui sois dit en passant est très bon ni le médecin du congrès je suis le seul responsable de mes décisions. C’est vraiment moi qui voulais essayer de vivre libre parce que je pensais que le fait de me libéré de ma médication me donnerait une plus grande liberté. Je crois que peut être il y a des abus mais il y a aussi des médecins qui veulent le bien de leurs patients.
Mais en conclusion je vais continuer de prendre ma médication parce que maintenant si j’arrête je me retrouverais probablement interné sur une aile psychiatrique et là je pourrais que rêver de la liberté. Et rien ne m’empêche de réessayer une autre fois avec l’aide d’un médecin même si c’est long en voir un parfois.

lundi 8 octobre 2007

Je me sens pret a reessayer...


D’abord intoxiqué pendant plus de 20 ans je reviens à la vie, la vraie vie, et ce ne sera pas facile.

Depuis 9 mois que je ne consomme plus j’ai décidé hier de réduire mes médicaments de moitié (de 50 à 25 mg de séroquel et de 20 à 10 de paxil) et de prendre le risque de ne pas dormir.

Mais j’ai eu un bon sommeil cette nuit et aujourd’hui je me sens bien même mieux que depuis longtemps. Les médicaments que je prends pour mon états dépressif et aussi pour mes high ne sont peut être moins utile maintenant que je ne suis plus « gelé ». En tout cas qui le saura si ce n’est pas moi. Je ne peux pas attendre de voir un médecin, je n’ai ni la patience, ni le temps voulu.

La rencontre avec le médecin au congrès de Montréal m’a permis d’accepter mon alcoolisme comme ma plus grande maladie. Et j’ai reçu mes médicaments (mon diagnostique) pendant ma consommation. Maintenant que je suis sobre depuis 9 mois je prends ce risque de diminuer ma médication.

Je ne peux crier victoire car une seule journée n’est pas assez pour savoir l’effet long terme de cette diminution de dosage. J’essais de diminuer lentement pour ne pas sentir l’effet du sevrage, et je prendrai le temps qu’il faudra.

Au pire je me dis que je reviendrai à mes doses prescrites. Je ne fais en aucun cas le procès des médicaments soyons clair là dessus, ces derniers m’ont sûrement sauvé la vie (état suicidaire) mais maintenant je pense que je peux diminuer.

Je vous tiendrai au courant au fil des jours,

A bientôt vous qui me lisez,

Mouze Zoomba

samedi 6 octobre 2007

Quel beau congres

Oui mes amis AA ou toutes autres personnes qui me lisent j’ai été au congrès AA de la région 87 tenu au Collège Jean-de-Brébeuf.

J’ai assisté à deux conférences toutes les deux étaient vraiment intéressantes. La première était intitulé « Le médecin face à l’alcoolisme ». Deux médecins prenaient place pour nous expliquer un peu l’approche médicale face au problème de l’alcoolisme.
Le docteur Marianne Collin, urgentologue et le docteur William Barakett. L’exposé du Dr Barakett était très intéressant et m’a rassuré sur le rôle de ma médication au moins jusqu'à un an après l’arrêt de ma consommation d’alcool. J’ai appris qu’environ 30% des personnes avec un problème d’alcool présentaient aussi une maladie mentale. Que le diagnostique de maladie mentale devait être prudent pendant la consommation. Puis qu’il y avait des similitudes très fortes de dépression pendant les épisodes de consommation d’alcool. L’idée aussi qu’une personne sous consommation d’alcool a les idées confuse, a de la difficulté avec les concepts abstraits.

Cela me faisais penser à moi quand j’ai commencé chez les AA voila même pas 8 mois j’étais tout confus sur la spiritualité. Ca m’a aidé a accepté le fait de prendre des médicaments peut être pour rétablir la chimie de mon cerveau pour tout le temps peut être pour l’arrêter dans quelques mois quand j’aurai atteint mon un an d’abstinence.

Il y a aussi l’idée avancé par le Dr Barakett selon laquelle que quelqu’un qui consomme durant toute son enfance perd de la faculté de maturation et que dans les AA ont réapprend en quelques sortes la vie.

Pour la deuxième conférence il s’agissait M. Leonard M. Blumenthal LLD qui est un des administrateurs des AA il fait parti des 7 administrateurs de classe A dans l’organisation c'est-à-dire qu’il n’a pas de problèmes avec l’alcool. À travers son exposé nous avons vu toute la grandeur du mouvement AA. Aussi il nous adressé un message sur la responsabilité de chacun de protéger le mouvement qui est, même si on ne s’en doute, toujours assez fragile tout de même. On a vu les différences dans quelques pays. Et en fin de compte la chance d’être au Canada pour avoir tellement de réunions.

Je suis parti de là et j’y ai rencontré quelques membres que je connais, cette journée a été pour moi un cadeau que je me suis fait. Et ca m’aide à savoir pourquoi je ne veux pas boire.

Merci à tous les organisateurs et bénévoles pour ce beau congrès et j’espère qu’il y en aura un l’année prochaine.

Mouze Zoomba

jeudi 4 octobre 2007

Les 12 etapes ou du moins les 3 premieres


Aujourd'hui je suis en vacance pour 5 jours je suis très reconnaissant d'avoir un peu de temps pour moi. Ce midi j'ai entendu un partage qui m'a aidé dans l'acceptation de ma maladie de l'alcoolisme mais aussi celle d'être bipolaire. J'essayais de réduire ma consommation de médicament sois le séroquel. Cette personne était comme moi et elle avait accepté sa maladie. J'ai été l'a remerciée et ça m'a aidé a comprendre que je devais pratiquer les 12 étapes dans tous les domaines de ma vie ou au moins les 3 première.


Je vous cacherai pas que hier soir j'ai essayer de ne pas prendre mon séroquel ce qui a eu pour effet que je me suis endormi vers 3 heure ce matin. Je crois que je dois accepter le fait que j'ai besoin d'une aide médicamenteuse pour vivre.


Merci mon Dieu d'avoir mis cette personne sur ma route aujourd'hui,


À bientôt,


Mouze Zoomba

mercredi 3 octobre 2007

Peur de decevoir, peur d'etre

Je suis ambigu aujourd'hui je viens de finir ma semaine parce que j'ai pris une journée personnelle et puis que j'ai aussi vendredi et lundi de congé pour l'action de grâce je serai en vacance pendant 5 jours.

J'avais la possibilité d'allé voir ma mère pour ces 5 jours parce qu'elle a eu des problèmes de santé dernièrement ou de rester à Montréal. Ce soir je me devais de lui donner une réponse mais elle n'est pas en ligne sur msn. J'espère que je ne la décevra pas car j'aimerais rester chez moi pour ces 5 jours, allé au congrès AA de Montréal et faire du meeting.

Des fois dans la vie c'est pas facile de prendre des décisions, depuis que je ne bois plus je suis je crois plus sensible aux autres et je trouve difficile de "dealer" avec tout ça.

Mais pendant que je vous écris je pense que ma mère veut seulement mon bonheur donc je vais penser à moi, est ce que je suis égoïsme?

L'état de santé de ma mère s'est beaucoup améliorer depuis ces dernier temps, c'est beaucoup plus stable puis aussi quand je vais chez elle j'angoisse après deux jours.

J'ai besoin de me retrouver et je crois que je dois être bien avec moi pour être avec les autres, ça me fais du bien de le vous partager car je sais que vous allez garder mon anonymat :),

Je sais ma PS m'aime et sera d'accord avec ma décision,

Mouze Zoomba

lundi 1 octobre 2007

Journee fantastique aujourd'hui...

Je remercie Dieu pour ma belle journée, sans anicroche, sans turbulence dans le calme et la douceur. Tout était parfait même à mon travail ce qui est très rare. Je me suis remis de mon traumatisme de dimanche en tout cas un peu mieux. Je crois que je dois m'accepter comme un être imparfait et même plus qu'imparfait, cela fait mal parfois mais je me sens moins comme un serpent. C'est à dire que je me sens plus entier, plus droit avec le monde en essayant d'accepter les bonnes et surtout les moins bonnes choses que j'ai faites dans ma vie.

C'est bizarre depuis que je ne consomme plus je vois plein de gens par hazard mais ces personnes que j'ai connues ou que je connait donne un sens et une signification a ma vie.

Comme aujourd'hui j'ai croisé sur la rue la barmaid d'un bar ou j'allais souvent et Dieu sais que j'ai mis sa patience à l'épreuve aujourd'hui je m'en rends compte, et elle m'a fait un beau sourire et m'a saluer.

La vie peut être belle si on se donne la peine de regarder :)

Je vous laisse,

Mouze Zoomba xxx

Définition de l'alcoolisme selon wikipedia

Définition de l'alcoolisme selon wikipedia

L'alcoolisme est la dépendance à l'alcool (éthanol) contenu dans les boissons alcoolisées. L'OMS reconnaît l'alcoolisme comme une pathologie et le définit comme des troubles mentaux et troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool1.

Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation (pharmacodépendance, craving), une dépendance psychologique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet).

La progression dans le temps est l'une des caractéristiques majeures de cette addiction. L'usage sans dommage (appelé usage simple) précède l'usage à risque et l'usage nocif (sans dépendance), puis enfin la dépendance. L'alcool est une substance psychoactive à l'origine de cette dépendance mais elle est également une substance toxique induisant des effets néfastes sur la santé. L'alcoolodépendance est à l'origine de dommages physiques, psychiques et sociaux.

source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Alcoolisme